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HYDROTOMIE PERCUTANEE


Méso-Kit-Perfuseur ou "pieuvre"

La Mésoperfusion utilise le Méso-Kit-Perfuseur, mis au point en 1995 par le Docteur Jacques Strouk (pharmacien biologiste à Marseille) et le Docteur Bernard GUEZ. Elle pourra constituer la perfusion du 3ème millénaire par voie sous-cutanée pour remplacer souvent la perfusion intraveineuse classique (cf. Les perspectives de la Recherche médicale en Hydrotomie).

Actuellement, le Méso-Kit-Perfuseur « ou pieuvre » utilise des sorties avec 8, 12, 18 ou 24 aiguilles ce qui permet de traiter sur le plan structurel et fondamental, des zones très étendues ou un rachis en totalité (comme dans l’ostéoporose ou dans les fractures tassement vertébraux) en évitant de nombreux effets secondaires.

Intérêts thérapeutiques

La Mésoperfusion utilise en priorité la voie locale ou loco-régionale et permet une action directe immédiate (« in situ ») sur la zone lésionnelle sans dégradation des principes actifs des médicaments en métabolites, évitant les surcharges hépatiques et rénales ou une certaine toxicité gastrique, neurologique ou myocardique de certains produits.

Ici, le premier filtre stratifié est la peau avec la lésion au premier plan. Sur le plan technique, il faut noter le côté « pratique » de la Mésoperfusion (pas de recherche veineuse), avec un retrait facile. Elle permet « d’amplifier » le procédé d’Hydrotomie percutanée dans le temps, le rendant plus efficace dans les pathologies compliquées. Elle pourra constituer une méthode d’avenir dans des pathologies diverses ou spécialisées.

  Pieuvre

L’hydrotomie percutanée est une technique médicale qui existe depuis une vingtaine d’années.

Elle est pratiquée aujourd’hui par plusieurs centaines de professionnels de santé en France et dans une vingtaine de pays à travers le monde.

Dérivée de la mésothérapie, elle explore un champ d’action thérapeutique local moins invasif que la chirurgie et réduit au maximum les molécules chimiques médicamenteuses.

Son but : agir sur les causes physiques de la maladie et non plus sur les symptômes. Il s’agit d’apporter directement, sur la zone concernée, ce dont l’organisme a besoin pour se régénérer (vitamines, oligo-éléments, minéraux, hydratation…). Les médicaments utilisés le sont en très faibles doses et ne passent plus par voie orale afin de diminuer significativement les effets secondaires.

Dans cette optique, l’hydrotomie percutanée offre une véritable alternative de soin, par rapport à la médecine conventionnelle, pour un grand nombre de maladies chroniques dont l’arthrose, les lombalgies, la migraine, les allergies, les maladies auto-immunes…

DÉFINITION DE L'HYDROTOMIE PERCUTANÉE OU HYDRATATION EXTRACELLULAIRE

L’hydrotomie percutanée est une pratique médicale professionnelle. Elle consiste en l’injection locale intradermique ou sous-cutanée de sérum physiologique (chlorure de sodium à 0,9 %) en accord avec l’autorisation de mise sur le marché (AMM) pour les indications d’hydratation extra-cellulaire et de véhicule d’apport thérapeutique (source Vidal 2017).

Elle permet l’apport de minéraux, d’oligo-éléments et de vitamines injectables mais aussi l’administration de médicaments conformément à leur usage établi en mésothérapie (accord professionnel : Société Française de Mésothérapie “La pharmacopée en mésothérapie”, 3e édition, 2000-2001) et aux recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS : service d’évaluation des actes professionnels SEAP, rapport de juin 2014).

L’hydrotomie percutanée est une mésothérapie diluée (mémoires présentés au Diplôme Inter Universitaire de mésothérapie Université Bordeaux II Victor Segalen et à l’Université Paris VI, Faculté de Médecine de la Pitié-Salpêtrière “Intérêt des grandes dilutions en mésothérapie”).

Les infirmiers.ères diplomés.ées d’Etat (IDE) peuvent effectuer des perfusions sous-cutanées sur prescription médicale selon la nomenclature générale des actes professionnels (NGAP : AMI 9 – AMI 14).

INTÉRÊT DE LA TECHNIQUE

Après un parcours thérapeutique conventionnel, à leur plus grande satisfaction, de très nombreux patients ont pu arrêter toute prise médicamenteuse et vu leur affection disparaître grâce à l’hydrotomie percutanée en reprenant une activité fonctionnelle normale y compris sportive.

Enfin, il faut souligner le coût économique très faible de cette alternative thérapeutique et son intérêt écologique incontestable.

Les lombalgies chroniques ainsi que les cervicalgies constituent actuellement un véritable fléau de santé publique avec un coût économique très important.

À travers un faisceau d’arguments (études, publications, communications auprès des sociétés savantes, bibliographies, avis autorisés de professionnels de santé, expertise des dossiers médicaux, plusieurs centaines de témoignages de patients identifiés…), les autorités sanitaires devraient prendre en compte toutes ces données afin de valider cette technique déjà éprouvée depuis près de 40 ans en médecine libérale privée par des centaines de professionnels et actuellement expérimentés avec succès en centre anti-douleur.

L’hydrotomie percutanée fait l’objet de nombreuses communications, au niveau national et international, et fait partie de l’exercice quotidien de beaucoup de praticiens formés à cette technique. De nombreuses études scientifiques ont été réalisées dans certains Centres Hospitalo-Universitaires (CHU Bordeaux, Lyon, Paris…) et en pratique libérale.

En pratique, les lombalgies et les cervicalgies restent des pathologies très fréquentes.

Dans la majorité des cas la solution chez ces patients n’est pas chirurgicale.

En cas d’échec des traitements conventionnels (rééducation, antalgiques, anti-inflammatoires, infiltrations rachidiennes…) la symptomatologie douloureuse est liée à une déshydratation discale et souvent à un écrasement du disque par les plateaux vertébraux sus et sous jacents (signal Modic à l’IRM).

L’hydratation des disques intervertébraux viserait à améliorer la statique vertébrale avec un rééquilibrage axial loco régional sur plusieurs vertèbres avec meilleure répartition des forces de projection sur le plan biodynamique.

L’arthrose est un phénomène ostéo-articulaire rapprochant les contacts osseux avec comme conséquence la disparition des disques ou du cartilage : problème hydro-mécanique.

Le processus arthrosique relève de modifications biologiques et biochimiques au niveau ostéoarticulaire. L’inflammation mécanique qui en résulte correspond à la sécrétion de médiateurs chimiques, les cytokines, substances pro-inflammatoires (prostaglandines, interleukines, TNF alpha, et métallo protéases…).

Les médiateurs vont entraîner une modification de l’homéostasie loco-régionale, ce qui correspond à des variations physico-chimiques ostéo articulaires (PH, osmolarité articulaire) avec troubles de l’osmolalité intra et extra-cellulaire, intra et extravasculaire et de l’eau selon la loi des membranes semi-perméables (équilibre de Donnan). Il va en résulter les signes cliniques de l’inflammation (douleur, rougeur, chaleur, tuméfaction).

Plus d'information sur le site :  Société Internationale d'Hydrotomie Percutanée

CONGRÈS ANNUEL 2021 : 6ÈME RENCONTRE INTERNATIONALE D'HYDROTOMIE PERCUTANÉE : Congrès 2021

CONGRÈS ANNUEL 2022 : 7ÈME RENCONTRE INTERNATIONALE D'HYDROTOMIE PERCUTANÉE : CONGRÈS 2022

8 octobre, 2022 : Congrès Annuel 2022 : 7ème Rencontre Internationale d’Hydrotomie Percutanée 
22 octobre, 2022 et 23 octobre, 2022 : Formation théorique et pratique à la technique d’hydrotomie percutanée